Dans les zones de conflits, les structures médicales ne devraient pas être la cible d’attaques. Les patients non plus. Ni nos médecins, nos infirmiers, ni les accompagnants de nos patients.
Si chacun sait qu’un hôpital en fonctionnement ne doit pas être bombardé, pourquoi cela arrive-t-il encore et encore dans des pays comme la Syrie, le Yémen ou l’Afghanistan?
Alors que les pourparlers de paix continuent en haut-lieu, les morts s’accumulent sur le terrain...
This review is based on debriefings with MSF national and international employees, internal and public information, before...
For the purpose of this internal review, 35 interviews were conducted with key MSF staff from the Yemen mission...
Les bombardements indiscriminés par les forces syriennes et russes font des victimes parmi les enfants d’Alep-Est. Au moins 321 enfants...
Abu Khalid est chirurgien orthopédique et directeur d’un hôpital soutenu par MSF dans Alep-Est assiégée. Il a quitté Alep le 21 août pensant que le siège était levé, mais quand l’état de siège a de nouveau...
Il s'agit de la quatrième structure médicale soutenue par MSF bombardée cette année au Yémen. L’hôpital de la ville de Abs...
In Taiz City, a MSF Mother and Child Hospital had been opened in November 2015. The area surrounding the...
Though the recent spate of attacks on medical facilities has by no means been confined to Syria, this report focuses on Syria due to the scale of both the conflict...
«Excellences, Mesdames et Messieurs: La semaine dernière, le monde a été témoin d’une attaque brutale sur un convoi humanitaire des Nations Unies et du Croissant-Rouge syrien, ainsi que sur un hôpital proche d’Alep.
Le Secrétaire général, M. Ban Ki Moon a dit : «alors que nous pensions que cela ne pouvait pas être pire, le niveau de dépravation vient de tomber encore plus bas.»
C’est le cas, en effet. Aujourd’hui, la conduite de la guerre n'a pas de limites...
On 27 April 2016, amidst the Syrian government-led coalition’s offensive on East Aleppo, Basel Aslan (Al Quds)...
«C’était à la mi-juillet 2012, les autorités nous ont donné l’ordre d’évacuer notre quartier d’Alep-Est ou de rester, à nos risques et périls...